Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Ramoné par 4 blacks
Histoire gay publiée le 18/02/2013
Salut je m'appel Fatti et jsui grav une lope accro à la bone teub, un jours que j'avais grav la dalle (comme d'ab)je me suis fait prendre par un grand black sur la table basse du salon. Allongé dos contre la surface du meuble recouvert par un grand drap de bain, les jambes bien écartées,je profitais au max du limage de cul que m'offrait cet antillais âgé d'une trentaine d'années, que j'avais connu la veille sur Internet. La grosse verge longue et dure de celui qui me pénétrait me massait admirablement la prostate. Pendant les vas et viens,je me branler afin de ressentir le plus de plaisir possible. Je me tripotais et pinçais les tétons, me caressait le ventre et criais à chaque coup de reins que me donnait ce blakosse biril de ouf qui me baisait sauvagement, comme une bête en rut. Confortablement assis sur le canapé et les fauteuils du séjour, trois autres blacks se prénommant Mike, djibril et Samassa, regardaient attentivement la scène torride et animale qui se présentait sous leurs yeux. Ils étaient entièrement nues et entre leurs cuisses se dressait une queue raide gonflée de veines et armées d'énormes testicules débordant de sperme. Astiquant lentement leur gourdin, ils essayaient de maintenir leur engin aussi rigide que possible dans le but de pouvoir se montrer plus performant que leur camarade Édouard, qui poursuivait encore son ramonage anale. Jusqu'au moment où l'un d'entre eux se leva et se présenta au-dessus de ma tete. Les jambes ainsi écartées de part et d'autre de mon visage, j'avais une vue imprenable des parties situées entre les cuisses de mon invité. Je voyais ses grosses boules poilues pendre lourdement ainsi que son gland corpulente en pleine érection que j'avais hâte de recevoir dans la bouche. Sachant pertinemment que le black voulait me faire sucer sa bite,j'ouvris donc ma gueule de suceur afin d'y accueillir l'objet de ses désirs. Le mec se baissa alors pour pouvoir enfoncer son chibre bien au fond de ma gorge que je ne tarda pas à téter le gland comme un chevreau le fait aux mamelles de sa Mamy. Je m'aidais de ma main droite pour décalotter et « re-calotter » cette bonne queue de black que j'pompais avec une avidité incomparable, bavant goulûment avec abondance. - Aaaaah ! Ouiiiiii ! Tu suces bien. Ouais ! Continues. Ne lâches pas ton morceau. Ouais ! Suces-le, dit Djibril envahit par le plaisir que lui procurait la bonne pipe baveuse que je lui faisait. Je me faisais pas prier et profitais à fond de l'occas' qui s'offrait à moi afin de déguster cette putin de bite de noir dure et appétissant. Je mordillais, léchais et me passais cette longue colonne de chair sur le visage, humant son odeur de bite enivrante. J'adore les blacks et c'est mon insatiable appétit pour leur grosse bite qui m'avait encore poussé à rechercher des mecs sur beuronline, en particuliers des Antillais. Tout ceci, dans le but d'organiser des petites sauteries durant lesquelles j'aimais être le centre d'intérêt. Si vous voyez ce que je veux dire. Pratiquement à chaque fin de semaines,j'orchestre une partouze de ce genre.Après le taff, il arrivait que je fasse venir un gars rencontré sur un site de cul afin d'avoir une petite gâterie. Je suis un toxico du sexe et cette obsession n'est pas prête de s'arrêter. Édouard se retira un instant afin de laisser la place à Djibril que je venais de sucer. En se retirant, le beau black au physique d'athlète se donna le temps de faire glisser sa grosse queue, en prenant soin de bien la regarder sortir. La vue en plongée vers l'entre jambes de mon partenaire, me permettais de contempler toute la longueur de son gourdin qui se révélait au fur et à mesure qu'il le dégageait de mon côlon. Les vingt-trois centimètres de chibre qu'il enlevait lentement de mon boule était toute sa fierté. Son engin était entièrement recouvert d'écume et son gros gland rose luisant comme le corps d'une limace était également maculé de mouille. Quand Djibril présenta son pénis à l'entrée de mon trou,j'attrapa sa queu dure pour me l'enfoncer en profondeur de mon Q. Bien entendu, de cette façon,je profitais de l'occasion pour tâter l'outil et évaluer sa rigidité en le branlant un peu avant de l'enfourner au chaud. Le bâton de chair de Djibril n?était peut-être pas aussi long et gros que celui d'Edouard mais au niveau de l'endurance et du surmenage, il assurait un max. D'ailleurs, aussitôt que son mandrin se retrouva tout au fond de mon cul, il commença à me foutre de rudes coups de reins qui me fit hurler de plaisir comme une petasse. Les quatre lascars qui étaient venus ce soir participer à la partouze, ne se connaissaient pas. Après une brève discussion autour d'un verre en arrivant, juste histoire de se connaître un peu, le « feeling » était tous simplement passé entre les quatres mecs. Ensuite, la suite des choses s'était faite naturellement. Ca m'est deja arrivé de faire des plans avec dix blacks d'un coup. Et je peux vous garantir pour une chienne comme moi c'est le top. Djibril m'avait tellement ravagé, qu'il était couvert de sueur. L?énergie qu'il avait déployé pour tant d'action, l'avait essoufflé mais il était satisfait de m'avoir fait gueuler comme une petasse. Vint ensuite le tour de Mike et Samassa. Contrairement aux deux autres, ils voulaient se la jouer à la « Bonnie and Clyde ». Alors pour cela, ils me mirent à quatre pattes sur le sol du salon. L'un commençait déjà à me limer le fion pendant que l'autre m'obligeait à me faire de fantastiques gorges profondes. Les deux blacks étaient aussi bien montés qu?Édouard, donc, autant vous dire que je criais aux aboies. A peine que l'un avait terminé de travailler ma noisette que l'autre prenait déjà sa place. Durant leur pénétration, ils étaient si sauvage, si rude, si irrespectueux et si rude que mon anus était carrément dilaté. De la taille d'une pièce de deux Euros. La cadence s'accéléra au fur et à mesure et ce,pendant plus d'une heure. Moment pendant lequel les autres avaient rejoint leurs compagnons de baise pour un quatuor de blacks emprunt de animalité et de virilité. L'orgie se finalisa par de magnifiques éjaculations bien juteuses. Édouard et Djibril m'ont bien dosé la bouche de leur foutre patueuse et bien odorante, tandis que Mike et Samassa m'ont arrosée le torse avec une bonne quantité de jus, qui s?écoulait partout. Puis,transpirant de sueur après tant d'action je me redressa et me mit à genoux. Les quatre blacks debout à mes côtés me faisait leur nettoyer la bite qui pendait lourdement entre leurs cuisses musclées. Je m'appliquais à leur nettoyer chaque centimètre de verge qui s'offrait à moi avant que ces Apollons à la peau d?ébène ne se rhabillent et me laisse tel un solitaire, en attendant qu'on s'offre de nouveaux plans sexe.