Initiation à la bite noire
Histoire gay publiée le 02/09/2024
Salut les mecs, voici une histoire qui a maintenant 6 ans. A l'époque, comme tout gars de bourge à Paris, j'étais en Lyxée Privé. Mais, mes parents m’avaient envoyés en province dans un Lyxée Catho privé. On étaient en internat, uniforme, vieux bâtiments etc. Mes parents m’avaient mis là pour „pas me retrouver avec des noirs ou des arabes”. Mais, l’établissement employait beaucoup de noirs pour le ménage, la surveillance, la „sécurité”. En tout 8 renois entre 23 et 35 ans. En temps que gars à papa on étaient très „arrogants” voir limite condescendants. C’était sans doutes très durs pour ces employés de supporter les petits blancs de 18-19 ans qui leurs parlaient mal, les méprisaient,… J'étais sans doute un des pires, petit blondinet au look surfeur gars à papa, cheveux longs et bouclé, moyennement musclé. La première année j’ai été horrible, laissant exprès tomber des choses devant les hommes de ménages, les regardant de haut etc. La seconde année, à la rentrée, l’attribution des chambres m’avait, « par hasard », fait me retrouver seul dans une chambre. Je pensais déjà à comment je pourrais faire venir des filles discretos etc. Je m’installe donc dans la chambre dès mon arrivée, me disant que ça allait être cool. La journée se passe, les parents disent au revoir, on mange dans le réfectoire, petite prière et on retourne tous dans nos chambres. Le surveillant, Serge, un grand black de 27 ans vérifie si tout le monde est bien dans sa chambre et annonce le « couvre feu ». Je me met en caleçon et tee-shirt et je m’allonge sur mon lit. Quelques minutes passent et on frappe discrètement à ma porte. J’ouvre et Serge me pousse à l’intérieur, accompagné d’un mec du ménage, Eric, un autre grand black de 23 ans que j’avais particulièrement martyrisé l’année précédente. Éric ferme la porte et je commence à leur demander ce qu’ils veulent. Ils me disent que je suis le pire gars à papa bourge qu’ils connaissent et qu’ils en ont marre d’être traiter comme des larbins. Arrogant je leur dis que c’est normal puisque c’est ce qu’il sont et que mon daron les aiment pas. À l’époque j'étais très influencé par les idées rétrogrades de mes parents. A ce moment ils ont vu rouge et se sont jetés sur moi. Ils m’ont dit qu’avec des mecs comme moi il fallait apprendre les bonnes manières par le cul. Je pensais que c’était une métaphore mais non. Eric m’a lancé sur le lit, Serge m’a prit les bras et maintenu tout en enfonçant ma tête dans l’oreiller puis Éric m’a arraché le boxer. Il s’est placé derrière moi et j’ai senti qu’il était nu. Il a mit un truc long et dur entre mes fesses et il s’est mis à se frotter. « Petite garce tu vas sentir la puissance noire quand je vais t’enculer! Tu vas arrêter d'être une ordure avec nous quand je t’aurais remplie de mon foutre! » Et il s’est enfoncé en moi! Mon cri a été étouffé par l’oreiller et alors que Serge me tenait toujours, Éric m’a pris comme sa salope. Durant un long moment, je sentais la douleur, le va et viens de ce mâle puissant et en colère qui me défonçait mon petit cul blanc et vierge pour m’apprendre à respecter sa supériorité. Il m’a labouré durant 30 minutes qui au début m’ont paru des heures avec la douleur et les larmes mais qui sont devenues des minutes d’un plaisir grandissant et intense. Cette impression d’être leur pétasse, cette revanche sévère, un plaisir qui montait de mon cul transformé en chatte. Et soudain une chaleur liquide… au milieu des grognements et des insultes, il venait de me fécondé. Il resta un moment, me chuchotant à l’oreille que maintenant j’avais été ensemencé par un vrai male et qu’il ne verrait plus en moi le gars à papa mais sa pétasse dans laquelle il s’était vidé. Il se retira, je laissais échappé un gémissement. Lorsque Serge se releva, se fut pour se déshabiller. Il fit apparaitre un corps musclé, noir ébène, bien sculpté. Il se retrouva vite en chaussettes et comme je bougeait très peu après le pilonnage en règle d’Éric, il vient sur le lit, me retourna sur le dos, fourra son boxer dans ma bouche et écarta mes cuisses pour se glisser entre elles et commencé à me prendre en missionnaire. Désormais je gémissais alors qu’il me prennait. Il retira même le baillon. « T’es une pétasse maintenant, dis le » « Je suis une pétasse » « Tu vas servir de vide couilles à tous les noirs qui le voudront à présent! » « Oui » « Oui maitre on dit! » « Oui maitre » « T’aime ça Salope! » « Ouiiiiiii Maiiiiitre » Je venais de jouir. Ce rabaissement et cette domination m’excitait. Il jouit quelques minutes après. Mon dépucelage et mon nouveau role etait complété. Ils se rhabillèrent. « Oublie pas ce qu’on a dit, t’es une pétasse a black maintenant ok? » « Oui Maitres » « On va t’expliquer le BNWO » « Le quoi? » « T’occupe et ferme ta gueule! A plus! » Ils sortaient, me laissant seul, nu, souillé de leur foutre, sur le lit.