Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Le militaire Nigérian
Histoire gay publiée le 12/01/2016
Cette histoire concerne un ami black de mon daron, il y a bien un an. Il me connaît depuis l'adolescence (j'en ai 25ans maintenant). Le gars marié depuis près de 30ans. Sa belle-Mamy était bien malade, sa femme décide d'aller à son chevet au Nigeria. L'aide à sa Mamy a bien duré 3 mois, elle est rentrée une fois durant tout son séjour. Ses gosses vivaient déjà hors de la maison familiale, donc il s'est retrouvé seul durant cette période, parfois il venait chez mes parents, avoir une peu de compagnie et nous donner des news de sa femme. Lui, 53ans, 1m80, aucun poils sur le corps, mince, bien noir, ancien militaire comme mon daron. Un samedi après-midi, alors que je préparais mon sac pour le sport, il se ré-campe chez les parents (partis en voyage). Il sonne et voulant pas le refouler, je décide de le faire entrer et donc d'annuler ce que j'avais prévu. Il s'assoit, je lui propose à avaler et il commence à me taper la convers'. Au bout d'un bon quart d'heure, on parlait de tout et n'importe quoi, il me demande des news de ma copine et là, il me parle de lui, il me fait comprendre qu'il est en manque, qu'il en peut plus de l'éloignement de sa femme, plus de deux mois sans la voir. Je lui réponds que c'est normal, il me raconte qu'il ne veut pas la tromper, que ça pourrait se savoir ; que si il va aux putes, on peut le voir et donc qu'il tente au max de compenser et je comprends qu'il doit être bien porté sur la branle en ce moment. Le connaissant depuis un bon moment, étant seul pour le week-end, je commençais à lui dire : « écoute, je sais pas si tu sais mais je suis bi et si tu veux je pourrais t'apporter mon aide ». Il était assis au fond du fauteuil, et à m'attendre il s'avança et me dit « t'es sérieux, tu parles de sexe là ». Je fis un geste de la tête pour répondre à l'affirmative et il se leva et me dit « non je ne peux pas, je tromperais ma femme ». Il me dit aller, je m'en vais. Je m'approche de lui et je lui dis « c'est juste un coup de main entre amis, ça restera entre nous, t'inquiète, au moins t'auras pas l'impression de tromper ta femme avec une étrangère ». Il se retourna et trouva des prétextes dont les plus gros possibles « tu sais t'as le même âge que mes gosses et je suis vieux » bla bla bla, j'insistai et poussé par la faim, il me dit finalement ok. J'entrepris de commencer l'affaire. On partit dans la chambre d'amis, au deuxième étage, je lui fis baisser le bas et commençai la suce. J'étais à genoux, mes mains sur ses fesses, je le regardais et à la première mise en bouche de son gland, il se retira et me bougea, je lui demandai ce qu'il avait et me dit qu'avec un gars c'était la première fois, qu'il voulait arrêter, que c'était une mauvaise idée. Plus il me repoussait, plus j'avais envie. Je fis en sorte de bien lui faire comprendre que c'était lui qui parlait de sexe, qu'il voulait se vider. Je lui dis « écoute si tu veux tu fermes les yeux, tu m'appelles même par le nom de ta femme ou d'une autre mais laisse toi faire », il acquiesça et me dit « surtout tu ne me touches pas », j'ai compris l'esprit militaire. Je me mis à poil et repris la pompe, sa queue pendante, taille moyenne mais bien charnue, épaisse et des boules qui sentaient le mâle. J'étais presque surpris de ce que j'avais en bouche. J'alternais l'ensemble, il se régalait et me dit que ça faisait longtemps qu'il avait pas eu droit à la suce. J'arrêtai la pompe au bout de 10 min, me levai et lui dit qu'on allait passer aux choses sérieuses. J'avais plus de capote et lui pas du tout donc on a fait sans. Il m'avoua qu'il n'avait plus touché au cul depuis l'avant de son mariage, que sa femme n'avait jamais voulu. Je lui dis, t'en fais pas, ça va vite revenir. Je me mis à 4 pattes, il était debout et je pris sa queue en main pour bien lui indiquer le chemin. Lui tout discret, il cracha légèrement mais m'enfila, le mort de faim, j'étais à peine ouvert, j'ai poussé un cri. Et là à ma grande surprise, il m'a pris d'une puissance, j'ai bien senti ces années d'abstinence du cul. Après 5 min, il ralentit la cadence, presque il s'arrêta et me sortit « je te remercie, t'as un cul ?. putain », et je lui répondis « wé c'est rien, n'oublie pas que t'es là pour t'éclater qu'en même ». Là, il monta sur le lit, j'étais toujours à 4 pattes, je sais pas s'il a mal pris ce que je venais de dire ou si c'était pour montrer ses capacités, il me dit de me cambrer, il était posé sur mon cul, ses mains sur mes épaules et ça a été ramonage intensif. Il avait un rythme, rien a envier à mes trentenaires d'habitude. Au bout du quart d'heure de sodo, il s'est vidé en gueulant. Il fallait vraiment qu'il se vide. Il s'est retiré, je l'ai branlé un peu pour faire sortir les dernières gouttes et on s'est allongé sur le lit. Encore essoufflé, je lui dis « putain pour un vieux, tu tiens bien le coup » et il me répondit « ehh c'est pas tous les jours qu'on se tape le cul d'un jeune ». Intérieurement, je me disais que sa meuf avait de la chance d'avoir à dispo' une bonne queue comme la sienne. On se ré-habilla, se salua et je compris qu'on en resterait-là. On en a plus jamais reparlé, ni rien fait. Finalement, je fis qu'en même du sport mais pas celui prévu.