Petit plan cul à Pantin
Histoire gay publiée le 01/04/2019
Salut me revoilà, Kevin, renoi, 1m80, 80 kg. Je vais vous raconter le 3ème plan cul que j’ai eu avec Junior, mon cefran kiffeur de renoi. Ça faisait déjà quelques jours qu’on se chauffait tous les 2 par SMS interposés. Le vendredi, il me dit : « Demain, je suis à Pantin dans un entrepôt. Je suis dispo à partir de 17h. Tu viens et on baise. » OK, pas de souci. Ça tombe bien, j’ai justement un déménagement qui devrait se terminer à cette heure-là. Samedi arrive, je lui envoie des SMS dans lesquels je lui dis que je vais le sauter comme jamais. Ça me fait bien monter le barreau pendant que je porte les cartons lol 16h arrive, je peux enfin souffler. Je le rejoins à Pantin. Il termine son rendez-vous avec ses 2 potes et moi, je me pointe dans le local. Je le trouve en train de m’attendre à son bureau. On tchatche un peu. Je ne sais pas pourquoi mais je ne le sens plus trop motivé : je le chauffe en lui disant qu’on peut se faire du bien tranquille en dehors du bureau. On sort de son bureau et on se plante au milieu de l’entrepôt, face à la fenêtre qui donne sur la cour. A priori personne peut nous griller. Il s’allonge sur un transat qui traîne et je baisse mon jean pour lui donner ma bite à sucer. Il prend ma teub en bouche et commence à biberonner gentiment. Je commence à pousser des râles de plaisir. Il a un sacré coup de langue le Junior. Lui de son côté vire son T-shirt et baisse son fut et son caleçon. Il commence à bien se branler mais continue d’assurer sa pipe. J’ondule bien le bassin histoire de lui foutre tous mes centimètres au fond de la gorge. Il salive comme un malade ce qui a le don de me coller un putain de barreau. De temps en temps, je regarde par la fenêtre pour voir si on peut nous griller. Oui on peut mais… personne ne passe ! Putain ce que c’est bon : une bonne pipe assurée par un bon passif, il n’y a pas à dire mais c’est bien kiffant. Pendant que je suis en train de philosopher sur ma bite qui coulisse dans la bouche de Junior, je jette un nouveau coup d’œil dehors. Et là, je vois un mec passer devant la fenêtre. Il ne nous a pas cramés heureusement ! J’informe mon cefran de l’incident et lui trouve dans l’entrepôt un recoin plus sombre mais sans vis-à-vis. Il s’accroupit et recommence à me sucer le zob comme si sa vie en dépendait : il salive un max dessus et moi je bande de ouf ! Putain, à ce rythme, ma teub va éclater. Il se relève, se retourne et me donne son cul. Il graisse sa rondelle et commence à diriger mon zboub vers son trou. Moi je dis : Non Junior, j’ai pas de capote. Il me répond : J’en peux plus, je veux trop que tu me baises. Il joint le geste à la parole et introduit mon gland en lui. Putain, ce que c’est bon ! La chaleur de son boule se diffuse sur le bout de mon zeb. Je pousse et je rentre ma teub bien huilée en lui. Oh putain ! Il me dit d’y aller doucement mais son cul est déjà habitué à mon morceau. J’en peux plus, je commence mes va et vient. Je coulisse trop, trop facilement en lui. Ah putain, Junior, t’es trop bon. Ma bite lui arrache des petits grognements, sa rondelle se serre et se desserre autour de mon membre… Hummm je kiffe ce massage. Je fais gaffe à ne pas être en surchauffe tout de suite sinon je balance la purée en moins de deux. Lui en revanche a plus de mal à gérer : mes coups de rein le font décoller très vite au point qu’il balance la sauce en 2 minutes. Putain, je n’ai même pas eu le temps de m’activer pour le remplir comme il faut. Pas grave ! Je sors ma bite de son boule et bouillant comme je suis, il ne me faut pas 1 minute pour lui balancer la sauce sur le torse. Bien arrosé, le cefran part se rincer aux chiottes et moi, je repars chez moi les couilles bien vidées. Franchement, tu gères Junior !