Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Le recrutement 2
Histoire gay publiée le 17/05/2024
Pour mémoire, il y a quelques jours, j’ai reçu un beau black pour un entretien d’embauche. Ce que j’ignorais, c’était que le black en question était le mec avec qui j’échangeais sur une appli et qu’il m’avait reconnu. Après l’entretien, il m’a sauvagement lopé : remplissage à la pisse et au jus, broyage des couilles, ouverture de chatte et premier fist. Alors qu’il repartait il m’a envoyé un dernier message me demandant de lui faire une offre d’emploi correcte. Si la séance m’avait particulièrement plu, elle m’avait aussi beaucoup déstabilisé car c’était la première fois que je mélangeais travail et sexe. Et j’avais besoin de réfléchir. Je n’ai pas répondu ni le soir même, ni le lendemain. Deux jours après, j’ai reçu un nouveau message de sa part : « Fais-moi une offre d’emploi où je balance tes photos à tes collègues ! » Il avait l’air de ne pas lâcher le morceau alors je lui répondis : « Je te propose de nous revoir pour cela ». « OK, pas de souci. Demain soir, même heure. Et je veux une proposition de contrat. Pour le reste, tu sais à quoi t’attendre… ». Le lendemain, il était là au rendez-vous. Dès son arrivée, les choses sont parties direct. Il rentre, me demande mes clés, va fermer la porte et m’ordonne de me mettre à poils. « Tu veux pas qu’on discute boulot d’abord ? » Il me met une grande calotte dans la gueule. « Discute pas ». Sonné, je lui donne mes clés et je me fous à poils. Il va fermer la porte. Heureusement que nous sommes seuls. J’ai une idée : le temps de son aller-retour pour la porte, j’active la caméra de mon ordi et l’enregistrement. Il revient. Je suis à poils, à genoux, mains sur la tête, le flacon de sur le bureau. Il l’attrape et me gaze direct, et me met un bon coup de pied dans les couilles. J’ai hyper mal et je pars en même temps. « Voilà mes conditions : pour le boulot, je veux… ». Je relève la tête et lui dit : « je peux noter ? » Il attrape le stylo sur le bureau et m’écrit ses conditions sur le torse et le ventre. « T’as tout, comme ça tu n’oublieras pas ». Il sort son téléphone et me prend en photo. « Pour le reste, tu m’appartiens. Donc tu feras ce que je veux quand je le veux. Rassure-toi, il ne se passera rien quand les autres seront là, mais en dehors de ça, je décide de tout ». Et il me remet un énorme coup de pied dans les couilles. Je ne peux pas faire autrement que de me tordre en deux après avoir crié. Il m’attrape par les cheveux et me plie à plat ventre sur le bureau. « Je te le redirai plus. Quand t’es comme ça, tu ouvres toujours ta chatte ». Ce que je fais. Il attrape le , me regaze longtemps. Il attrape mes couilles à travers mes jambes et avec une boule dans chaque main, il les écrase et les tire au maximum. Je me retiens de crier, mais les larmes me sortent des yeux malgré moi. Je sens sa queue sur mon cul, il rentre d’un coup à sec, et direct. Heureusement que je m’étais préparé avant et un peu lubrifié. « Ça rentre comme dans du beurre, tu t’es graissé, c’est la dernière fois. Les produits ca me donne des allergies. » Sans jamais lâcher mes couilles qu’il a repris dans une seule main et qu’il continue à broyer, il sort sa queue, vient me la mettre dans la bouche, et la remplace par 3 doigts dans ma chatte. « Enlève-moi toute cette graisse sur ma queue. Le seul lubrifiant que tu pourras avoir, c’est ta salive, tu sais ce qu’il te reste à faire ». Je m’exécute en prenant soin de mouiller sa queue au maximum, mais il me démonte la gueule c’est difficile. Et il en a profité pour me mettre 4 doigts dans le cul et je sens qu’il essaie de me mettre le poing direct. Mais ca ne rentre pas. J’encaisse, mais c’est vraiment plus dur que la dernière fois. Il finit par sortir sa queue de ma bouche, me la met dans le cul en laissant ses 4 doigts. Elle s’enfonce directement au fond et il me baise sans ménagement. Il a repris chacune de mes boules dans une main différente, et j’ai l’impression qu’elles vont éclater tellement il les serre et les tire, il me soulève pour me placer en lévitation sur sa queue. Et il va me baiser comme ca pendant 20 minutes, sans s’arrêter et à fond. Pour finir par se vider. « Tu es à moi, mais c’est réciproque. Tu es le seul à prendre tout mon jus maintenant. Sois-en digne. » Quand il a fini de se vider, il sort sa queue, me la remet dans la bouche pour que je la nettoie, et enfonce direct son poing dans mon cul. Si la dernière fois, il avait largement exploré l’entrée de ma chatte, je sens qu’il a allongé sa main qui est déjà bien rentrée et qu’il cherche à avancer. Son avant-bras est énorme. J’ai peur qu’il me déchire. Mais il continue, fais des allers-retours de plus en plus profonds, son jus servant de lubrifiant, et ça avance progressivement. J’ai toujours sa queue en bouche. Il se met à pisser. Pas besoin d’en dire plus, j’avale. C’est décidément un gros pisseur, mais cette fois-ci il ne se retient pas comme la première fois, il y va franchement. Je manque de m’étouffer, mais il continue jusqu’au bout. Pareil de l’autre côté, une main sur les couilles qui veut me les arracher et son poing qui progresse de plus en plus dans mon cul. J’attrape le et me gaze sans lui demander. Il ne dit rien. Ça dure comme ca un bon moment, j’ai toujours sa queue dans la bouche, il ne débande pas. Au contraire, il continue à me marteler la glotte pour des gorges profondes. « T’es incroyable toi. C’est ton 2e fist et tu prends déjà quasiment jusqu’au coude. J’ai jamais vu ça. Tu me plais, je vais faire de toi une vraie femelle, ma femelle. » Comme la dernière fois, il sort son bras d’un coup de mon cul, la sensation de vide est énorme, je ne sens plus ma rondelle. « Ta chatte reste ouverte, va falloir t’y habituer. » Et il me jouit dans la bouche à ce moment-là. Le flot est toujours énorme et j’avale tout. « Retourne-toi, allongé sur le dos, mains sur la tête, ferme les yeux ». Il a pris quelque chose dans son sac. Je sens un truc froid me rentrer dans le cul, une boule de métal. Puis il attrape mes couilles et ma queue qu’il passe dans un anneau métallique. Je sens que le tout est relié. « Je te l’avais dit que tu serais cagé. Et il continue. Il m’appuie sur la queue pour la rentrer à l’intérieur, me rentre un tube dans l’urètre. Et au bout de quelques instants, j’entends une clé fermer le tout. « Cage de chasteté négative. T’as plus de queue. Juste de quoi pisser assis comme une femelle et tu vas t’en foutre partout. J’ai fermé ta chatte, je veux plus qu’un autre y touche. T’as juste la capacité de te vider. C’est du provisoire, on fera mieux. Tu bouges pas ». De toute façon, je ne peux pas, je suis KO. Je l’entends partir, ouvrir la porte, sortir. « Demain, je veux mon contrat ! »