Histoires de sexe

Tous les jours le matin et le soir, je passais devant le chantier de construction d'un immeuble à plusieurs étages en allant et en revenant du Lyxée. Plusieurs ouvriers blacks me sifflet après quelques jours de passage et moi, je leur répondais par un petit signe de la main. Il faut dire qu'avec mes cheveux longs, mes vêtements plus que moulant et ma démarche un peu efféminée, il n'y avait que peu de doute sur mon orientation sexuelle, d'où sans doute les sifflements admiratif ou aguicheurs de la part de ces blacks en salopette et surtout en me faisant des remarques sur ce qu'ils voulaient me faire si je passais entre leurs mains. Alors pendant tous mes cours, je pensais à eux et surtout à ce qu'ils m'avaient suggérés et proposés de me faire. Un vendredi soir, alors que j'arrive au début de la rue où se situe le chantier, je vois un des blacks du chantier m'attendre au début de la rue, soit à une n-bonne centaine de mètres du chantier. - Salut, mon mignon ! - Heu !... Bon.... Bonjour ou bonsoir plutôt, monsieur ! - Tu as 5 minutes pour moi ? - Heu ! Pour... Pourquoi ? Et là il m'attrape par mes cheveux et attire mon visage vers le sien, et me rouler une pelle bien baveuse à laquelle, je réponds après une seconde d'hésitation. Tous en me roulant cette pelle, il m'entraine dans les buissons de la rue qui sont aussi tout atour du chantier pour e pousser contre un arbre et me prendre à pleine main mon paquet et le malaxer durement. En moins d'une minute, ma bouche dégoulinante de salive se retrouve avec une bite géante dedans. J'ai cru que ma mâchoire allait se décrocher tellement sa bite était grosse. J'ai posé mes mains sur ses cuisses pour l'empêcher de rentrer sa bite trop profondément dans ma bouche, mais je ne pouvais rivaliser avec sa xxx et je me suis retrouvé à plusieurs reprises, sa bite presque totalement dans ma gorge. Puis ce fut l'apothéose il s'enfonce totalement dans ma gorge et j'ai mon nez écrasé sur son pubis crépu et mon menton qui repousse ses couilles entre ses cuisses. il fait cela deux fois sauf que la deuxième fois, il reste à fond dans ma gorge, sa bite vibre et soudain des spasmes éjaculatoires se font sentir su ma langue et sur la paroi de ma gorge. Se black se c-vide directement dans mon estomac alors que je ne peux plus respirer. Il se retire très vite sort totalement sa bite de ma bouche et l'essuie avec mes longs cheveux. - On se revois lundi, ma pétasse ! Dit-il en me caressant la joue comme si j'avais &été un sage gars. Je ne pouvais à peine respirer et pourtant je me suis entendu dire : "Oui monsieur à lundi"