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Chaque personne est unique et peut se révéler avoir des talents cachés. Pour ce jeune black à priori ordinaire, le talent ne sera pas pour déplaire aux amateurs de sperme... Il vient au coeur du terrain vague, se pose sur la piscine abandonnée et s'exhibe. Il n'a pas de soucis avec son corps, il s'assume et ça le gêne pas qu'on le mate en train de se branler. Bien au contraire, sentir les regards sur lui l'excite et l'amène à dévoiler son secret. Sa spécificité ? Être capable de cracher du jus comme une véritable fontaine ! Tout son corps black va être repeint alors qu'il va se faire cracher. De grosses gouttes de foutre chaud. De quoi donner envie d'un bon gros dessert.

C'est le début de leur relation et c'est chaud ! Ces deux beaux mecs renois vivent un vrai kif à deux. Ils ont passé la nuit dans un hôtel à niquer et alors que le jour se lève, le passif a déjà envie de recommencer. Il faut dire que son mec en a une sacrée entre les jambes et il comprend pas comment il fait mais il est toujours plein de jus. Quand y en a plus, y en a encore. La gaule du matin aidant, l'envie d'une douche de foutre au réveil est irrésistible. Alors le passif réveille son mâle en le léchant et en le prenant en bouche, le faisant durcir pour qu'il rétame sa rondelle avant de lui repeindre la gueule avec sa sauce délicieuse.

A Rio, dans une villa désertée, un jeune black, Marcus, glande. Il trouve une petite piscine mais elle est vide. Pas possible de se baigner alors que faire ? Marcus a une idée perverse qui lui traverse la tête ? Et s'il remplissait cette piscine de son jus ? Il se doute bien qu'il n'aura pas assez de semence pour se faire un bain de foutre mais il est déjà en train de s'astiquer. A poil, seul, le zob dur comme pas possible, il se fait kiffer et tout son corps se relâche le temps de ce plaisir solitaire exhib. Le sperme sort, épais, crémeux, mais atterri sur sa cuisse. Il y a même pas de douche : Marcus va devoir rentrer chez lui en sentant la semence. Ca n'est pas pour lui déplaire.

Ils se retrouvent après de longs mois d'absence. Et l'envie est toujours là. Pour Blake, pas de doute : ce mec est à part. Il a toujours été obsédé par sa bite. Il ne se l'explique pas : la bite de son pote, il l'adore. Elle est parfaite, elle a un goût qui le rend fou et quand il la suce, il se régale, il a envie de la lécher pendant des heures, de prendre chaque goutte de mouille. Elle rentre si bien dans sa gueule, comme si elle avait été créée pour s'y enfoncer. Et dans le cul... un paradis ! Elle fait tellement de bien, le dard est magique et donne des orgasmes de femelle. Blake voudrait que ça ne s'arrête jamais, il aimerait l'avoir en lui en permanence, sentir sa puissance et son foutre à vie.

Finalement, la prestation du cambrioleur a été très appréciée (pas le larcin, bien sûr, ce qui a suivi...) et il a été chaleureusement invité chez le propriétaire pour poursuivre l'épisode précédent. Evidemment, il est venu en l'absence de son mari qui, lui aussi, arrivé de manière impromptue, s'est admirablement adapté à la situation !

Trop dure la vie de réalisateur de porno ? C'est clairement pas Jay, réalisateur chez Flava qui va se plaindre. Son job : recruter les nouveaux modèles et les tester avec des solos. Du coup il passe toutes ses journées à mater des beaux blacks qui s'astiquent leur morceau devant lui. Et de temps en temps il peut même tester la marchandise. Ce modèle ci est un pur BG et il se révèle très motivé et obéissant, ne rechignant pas à pomper la queue du casteur et à s'embarquer avec lui dans une baise filmée bien chaude. Pour Jay, c'est le pied total, un super moment d'exhib avec un renoi au charme et au cul ravageurs.

C'est du grand art ! Arrivé pour commettre un larcin, il tombe sur l'occupant et s'adapte immédiatement à la situation. Tu remarqueras que, dans ses outils, il n'avait pas oublié les capotes, on ne sait jamais... La preuve ! Finalement notre voleur est parti la queue entre les jambes... de bonheur !

Jason traîne en banlieue et c'est pas un hasard. Il a besoin d'une bite black bien grosse, épaisse, pour calmer ses chaleurs. Avec son regard qui montre sa faim, tout le monde comprend qu'il a besoin. Un mec le branche et l'invite dans le motel le plus proche. Jason va pouvoir se rassasier avec le manche qui va se présenter à lui. Et il lui fait honneur en le bouffant docilement, longuement. Un bon téteur endurant qui fait bien bander et dont le cul bien affamé va s'ouvrir tout seul pour se faire bien baiser. Il couine, il se sent bien, il laisse le mâle prendre possession de lui et vide les couilles avec bonheur.

Notre héros se prélasse mollement sur son lit, ce qui n'a pas échappé à son coloc qui le mate depuis longtemps. C'est vrai qu'au début, ça ressemble à un plan hard et baise sauvage mais, très rapidement, on sent une certaine forme de consentement dans la manière d'être...

Trop beaux ces deux mecs blacks ! Et magnifiquement foutus. Ils se retrouvent chez l'un des deux pour une soirée pépère devant la télé. Mais ils ont beau zapper, y a clairement rien de bien intéressant. Pas grave, ils savent comment s'occuper. Il suffit de sortir son zob et l'ennui n'existe plus. L'être humain est source de tant de divertissement et de plaisir ! Non seulement ça va se pomper mais en plus cette fois ils vont aller plus loin. Le cul du passif a envie et il est prêt à se faire remplir. Le genre d'invitation qui se refuse pas et qu'il faut honorer en lâchant des beaux jets de foutre bien généreux !

un beau black à grosse bite se tappe un cul blanc? Drew va se faire plaisir avec Anthony. Ce Rudeboiz black a une grosse bite mais en plus il s'en sert super bien, toujours prêt pour l'action dans le cul d'un mec, et avec Anthony dans les parage, il ne va pas attendre longtemps. Sa bite est comme un tronc d'arbre et rempli bien le cul du Anthony qui adore ça. Et on le sent bien quand on voit comme cette petite chienne d?Anthony reste bien bandé pendant tout le temps où il se fait ramoner? avant un final explosif de jus comme de juste?

Le Master lui avait bien expliqué la chose : le soumis devait se rendre disponible toute la soirée pour pomper très longuement, nettoyer, vénérer la grosse bite black. Il en avait envie, il en avait besoin. Il est venu et il a obéi, instantanément. Rien ne semblait plus naturel que de s'abaisser pour faire durcir le manche, le faire gonfler d'envie, le mouiller avec la bave. Il a oublié son propre plaisir. Il ne compte plus. Seul compte le Maître. Alors on suce, de mieux en mieux, de plus en plus profondément. On aime le goût, on déguste. On devient accro. La suite ? Il la connait déjà et il en frémit d'avance : prendre le chibre du mâle rasta dans la fente. Être utilisé et aimer ça. Parfait.